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Any given f****n day

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Any given f****n day
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7 février 2008

Putain de destin !

Heureusement que je ne crois pas à la prédestination car là, il y aurait quand même de quoi se poser des questions !

Flash back.

Depuis un peu plus d'un mois, je vais bien. j'ai laissé mon spleen au placard et curieusement il ne me manque pas. Disons que j'ai trouvé un palliatif, un substitut. Une activité qui est pourtant aux antipodes de mon passe-temps favori qui est de coincer chez moi comme un "coocooner" à la con. Bref, je traîne les rads et je dois dire que j'aime ça car on y rencontre de drôles d'oiseaux. Des personnages haut en couleur comme j'aime à les appeler.

Car oui, j'ai décidé d'entrer en communication avec mes semblables. Ce curieux phénomène a souvent lieu la nuit venue et a tendance à se répéter ces derniers temps, à tel point qu'il commence à m'arriver des "choses". Mais pour que ça arrive, il faut avoir été "repéré". Le modus opératoire est simple, traîner régulièrement dans les mêmes endroits.

That's what I do !

Bref, revenons à mes péripéties. Donc, je sors, je rencontre, je discute, je charme. Et oui, ça m'arrive ! Le problème c'est que c'est à "l'insu de mon plein gré" et que par conséquent, je ne vois rien venir. En l'espace de trois semaines, des langues se délient et plusieurs "opportunités" se sont présentées. Mais forcément, comme c'est de moi dont il s'agit, rien n'est simple !

Et une, et deux, et trois ... Zéro !

Alors que ma vie est d'une mortelle platitude depuis un an, voilà qu'en l'espace de quelques semaines, des femmes s'intéressent à moi ; trois en l'occurrence. Quelle étrange étrangeté ! Pourtant, ça a mis en lumière quelques hypothèses que j'émettais, à savoir qu'on ne peut apprécier et être apprécié qu'à condition de chercher à connaître les gens, à en savoir plus. La preuve est faite, et ça devrait me réjouir. Sauf que comme je l'ai écrit, avec moi rien n'est simple !

Trois femmes, trois histoires.

La première m'a déclaré sa flamme il y a quelques semaines mais malheureusement, ça n'était pas réciproque et je le lui ai dit. Jusque là pour moi, tout va bien. La deuxième, c'est plus récent, et je dois dire qu'elle m'attire beaucoup. Le problème, me direz-vous ? Elle est déjà engagée ailleurs. Alors pourquoi diable s'intéresse-t-elle à moi si tout va bien dans son couple ? Elle est tout simplement attirée, m'a-t-elle dit. Là, ça se complique. Mon avis, c'est que je représente la liberté, une sorte de fantasme pour femmes mariées. Nada mas. Mais ceci n'est peut-être qu'une autre de mes théories farfelues !

Quant à la troisième, elle ne m'a fait aucune déclaration et je ne sais même pas si je lui plais ; mais le courant passe bien, et je sais qu'elle est libre. Alors que faire ? Que choisir entre "pulsions" et "raison" ? Au moment où je me pose ces questions, je connais déjà les réponses. Le bon sens voudrait que j'affronte mes vieux démons et que je me décide enfin à passer à l'action, et avec une femme libre de tout engagement de préférence. Seulement voilà, je flippe. Que se passera-t-il en cas d'échec ? Et si je me trompais sur ses intentions ? Mais c'est finalement la seule alternative qui m'est proposée car, principes obligent, je ne peux décemment pas m'intéresser à une femme mariée ou presque, ni profiter des sentiments d'une autre. 

Une fois de plus, je sais ce qu'il me reste à faire. Manque plus que le courage pour passer à l'action ... à mon retour de vacances peut-être ... ou plus tard, beaucoup plus tard !

gto2   Faut rester cool, c'est ça l'idée !

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29 janvier 2008

Question de choix

"Choisir la vie. Choisir un boulot. Choisir une carrière. Choisir une famille. Choisir une putain d'télé à la con. Choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvres boîtes électroniques. Choisir la santé, un faible taux d'cholesterol et une bonne mutuelle. Choisir les prêts à taux fixe, choisir son p'tit pavillon, choisir ses ami(e)s, choisir son survêt et l'sac qui va avec, choisir son canapé avec ses deux fauteuils, le tout à crédit avec un choix d'tissus d'merde, choisir de s'affaler sur c'putain d'canapé et s'lobotomiser aux jeux télé en s'bourrant d'Mcdo. Choisir de pourrir à l'hospice et d'finir en s'pissant d'ssus dans la misère en réalisant qu'on fait honte aux enfants niqués d'la tête qu'on a pondus pour qu'ils prennent la r'lève. Choisir son avenir, choisir la vie ... Pourquoi j'ferais une chose pareille ? J'ai choisi d'pas choisir la vie ... J'ai choisi aut'chose ... Les raisons ? Y a pas d'raisons. On n'a pas besoin d'raisons quand on a l'héroïne ..."

Renton, Trainspotting

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Putain, voilà l'alternative : tomber dans la dope ou affronter sa vie et ses choix ...

Je crois que je vais choisir la vie.

22 janvier 2008

On n'arrête pas l'progrès !!!

Un matin, dans notre magasin :

Une cliente plutôt pas de la première fraîcheur approche d'un pas décidé, un modem Orange à la main, et me dit :

"- J'ai vu à la télé qu'avec Alice Internet le téléphone était gratuit.

- euh oui, dis-je d'un ton dubitatif.

- alors si je branche mon téléphone sur cet appareil, je peux téléphoner gratuitement ?

- !!! "

Qu'est-ce que vous voulez que je réponde à ça ?!?

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20 janvier 2008

Enfin !

Après plus de deux mois d'une attente fébrile, mon héros préféré est enfin de retour pour me raconter ses dernières péripéties. Celles qui mettent un terme à une saison de déceptions, de rires, de maladresses en tout genre, de coups pour rien, de petites phrases assassines ... et de quelques petites éclaircies tout de même.

Enfin donc, il est de retour mon anti-héros ; un retour bref car, actualité hollywoodienne oblige, la suite de ses aventures, ou mésaventures c'est au choix, n'est hélas pas pour demain ! Bon sang d'banzaï, font chier ces ricains !!! Pour une fois qu'une série sort des sentiers battus et propose un anti-héros bourré de défauts et pour qui rien ne se passe normalement, voilà qu'ils m'en privent ; mais c'est pour la bonne cause alors, respect.

Ah, mon Hank Moody, tu vas me manquer !

Mais pour l'heure, je suis encore dans l'euphorie de ces deux derniers épisodes. Pfouah, quel spectacle ! Je l'adore ce perso, c'est définitif. Il est tout ce que je rêverais d'être : un déglingué talentueux, nihiliste mais bourré de principes, qui méprise les femmes mais baise tout ce qui passe, qui aime autant la clope que la picole, les bagarres que les embrassades ; mais qui, plus que tout autre chose, est fidèle à une seule femme, la seule qu'il aimera jamais. Cette idée me plaît. Sa liberté de ton me plaît, son esprit et sa philosophie de vie tout autant. Quant à la suite, si elle voit le jour, je l'attends avec encore plus de fébrilité car ils ont placé la barre très haut.

Pour les infortunés qui ne connaîtraient pas encore cet OVNI, ils n'auront bientôt plus d'excuses car M6 diffusera prochainement l'intégralité de la saison 1, en troisième partie de soirée évidemment ! Mais c'est pas le pire. Ils ont eu la mauvaise idée de la diffuser en VF. La compréhension y gagnera ce que le ton y perdra !

Alors à choisir, optez pour le téléchargement de la VOST, et régalez-vous !!!

Sans_titre1

7 janvier 2008

Un soir comme tant d'autres

Un bar, fin d'après-midi.

Assis dans un coin du bar, le plus sombre, le plus discret, je bois mon café. Les habitués jouent aux fléchettes. Quelques braves travailleurs savourent une bière bien méritée, puis une deuxième. Des étudiantes très chamarrées discutent et rient fort, très fort, trop fort ; si fort que je peux les entendre malgré la musique qui jaillit de mon MP3.

Toutes ces personnes communiquent, échangent, vivent. Je vois tout, je suis là, ou presque. Car mes pensées sont ailleurs, si loin de cet instant. Seul au beau milieu de toute cette foule, je vis pourtant un moment privilégié. Un de ceux qui vous font aimer ce que vous êtes, une ombre, à peine une présence. Mais qu'importe, je ne suis pas si seul, mes compagnons habituels d'infortune sont là et participent à cet instant.

J'avais pourtant décidé de faire le tri dans ce qui m'a souvent plongé dans cet état mais il est des choses dont on ne se débarrasse pas si facilement, même si on en éprouvait le désir. Et toi, mon spleen, mon précieux, jamais je ne me débarrasserai de toi. Tu seras toujours le bienvenu car j'ai appris à t'apprivoiser. Je ne te crains plus, mais je ne te vénère plus non plus ! Tu es une partie de moi, une partie que je veux assumer.

Un petit couple arrive. Ils sont très beaux, très regardés et ça leur plaît. La troisième tournée pour nos amis. Et l'une des étudiantes me regarde, passe négligemment la main dans ses cheveux tandis que Cat Power me berce de sa voix planante. L'instant est bref mais je le savoure.

D'autres groupes entrent, et d'autres sortent fumer une clope sur le perron. Le bar semble de plus en plus petit et mon espace réduit à vue d'oeil. Bientôt la promiscuité me fera quitter ce lieu rendu inhospitalier. Mais pour l'heure, les joueurs enchaînent les parties, et Morcheeba ses rythmes langoureux. A travers la baie vitrée, la pluie tombe fine. Et là, dans toute cette agitation et ces va-et-vient, je suis totalement à ma place. Seule l'arrivée de l'un de mes compagnons de boisson pourrait me faire revenir à la réalité poisseuse de cette vie précaire de trentenaire célibataire. Cette idée fait son chemin dans ma tête et je commence à m'échapper de mon instant ... Mais comme un signe du destin Cat Power me glisse son "remember me" dans le creux de l'oreille et je fonds, je m'enfonce, je renonce ... à lutter.

Je quitte cet endroit pour m'engouffrer dans la nuit fraîchement tombée, sous cette pluie fine. La ville est à moi, et ses rues m'accueillent, moi, mon MP3 et ma mélancolie.

Je suis bien, je suis heureux.

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4 janvier 2008

Qu'on me libère de mon passé !

Qui a dit que la fuite n'était pas une solution ?

Après avoir fait moultes fois le tour de la question, j'en suis à cette conclusion : faut que je migre !

Il n'y a plus, dans cette foutue ville, un seul endroit qui ne me rappelle pas une anecdote, un souvenir, bon ou mauvais. Car c'est bien là que réside le problème : qu'ils soient bons ou mauvais, le résultat est le même. Je suis un éternel insatisfait, au point qu'il m'arrive parfois de regretter tout ce que j'ai fait. Il m'arrive de vouloir ne rien avoir vécu.

Et pourtant, en y réfléchissant bien, si j'en suis là aujourd'hui, si j'ai ce regard sur la vie, sur ma vie, c'est parce que précisément j'ai vécu quantité de choses. Mais pourquoi diable ne suis-je pas capable de faire de tout ça une force, un avantage, un atout ?

Non ! Je préfère traîner mon passé comme un poids mort, ne retenant tantôt que ce qui n'a pas fonctionné, tantôt ce qui fut bon et agréable, mais avec beaucoup de nostalgie.

Pourquoi ne pas laisser tout ça derrière moi pour mieux avancer ? Je vis dans le passé et je suis incapable de me projeter dans l'avenir. Même le présent me semble parfois insurmontable. Mais dans un an, quand je repenserai à aujourd'hui, quel putain de regard aurai-je sur la foutue existence que je mène à ce jour ? A part des regrets, que me subsistera-t-il de cette période ? Je me dirai sans doute :

"Mais quel con ?"

Je me le dis déjà aujourd'hui. Car, franchement, qu'est-ce que j'ai foutu en 2007 ?                     NADA !!!

Alors puisqu'on est au coeur de cette période, hasardons-nous à quelques bonnes résolutions ...

16 décembre 2007

Et si en fait on n'avait pas le choix ...

Mes croyances intimes seraient-elles en train de vaciller ? La prédestination, voilà une théorie que je refusais de croire car elle impliquait, selon moi, la présence d'une entité décideuse. Comme si finalement tout se passait selon les caprices du Grand Aimant. Lui seul serait-il responsable de nos peines et de nos joies ? Si c'était le cas, qu'en serait-il alors du libre arbitre ? Avons-nous réellement un droit de regard sur nos propres vies ? Sommes-nous vraiment aptes à prendre des décisions, à faire des choix ? Ou tout serait-il déjà écrit, décidé pour nous ?

A vrai dire, c'est une théorie plaisante pour une raison, et une raison seulement : me déculpabiliser. Ainsi, je ne serais pas responsable de mon malheur, de mon mal-être, de ma misère en somme . Voilà qui est intéressant !

Intéressant, mais insuffisant. Car non, rien n'est écrit, rien n'est décidé ! Le futur n'existe pas au-delà de la foutue seconde à laquelle on y pense. Une seule décision et tout est bouleversé ; un nouveau futur se met en place qui peut changer radicalement dans la seconde suivante. Et qui a le pouvoir de décider de cela sinon soi-même ? Accepter cela, c'est accepter ses erreurs, les reconnaître et les assumer. C'est accepter aussi le fait qu'on peut éviter de les commettre à nouveau. Et chaque foutue seconde de notre existence, on a ce pouvoir. Quelle responsabilité !

Selon cette théorie, on peut tout si on le veut. Tout est question de motivation, d'envie, d'audace ou d'ambition. Et voilà la faille ! Je suis, comme beaucoup, né dépourvu de ces éléments cruciaux pour qui veut mener une vie épanouie. Alors que faire ? Comment devient-on quelqu'un de "motivé" ? Qu'y a-t-il dans cette existence terrienne qui mérite qu'on lui accorde tant d'importance, tant de sacrifices ?

La réponse du commun des mortels serait : la recherche du bonheur, tout simplement. Et simple, c'est le mot ! Le bonheur, c'est trop simple ; mais tellement fragile aussi. Et tellement destructeur lorsqu'on l'a perdu. Alors j'ai décidé de ne plus courir ce risque.

Mais comme chacun le sait, on a chaque seconde le pouvoir de changer les choses, alors ...

miguelito

12 décembre 2007

L'ennemi annuel

<1> Comme chaque année à cette période, il arrive à pas feutrés, mais avec une régularité d'horloger suisse.

<2> Jour après jour, il s'amenuise, s'affaiblit, mais c'est pour mieux atteindre son but.

<3> Et plus on s'en rapproche, plus l'angoisse monte, mais j'ai encore le temps.

<4-5-6-7> Les premiers jours passent sans qu'on s'en rende réellement compte.

<8-9-10-11-12-13> Mais passée la première semaine, tout s'emballe.

<14> Bon sang de banzaï, plus que 10 jours !!!

<15> Une première liste s'impose : offrir quoi, et à qui ?

<16-17-18> Réflexion ...

<19-20> Une deuxième liste, plus "light" celle-ci.

<21> Cette fois c'est bon, j'ai les noms et les idées, reste plus qu'à acheter.

<22-23> Putain, c'est quoi tous ces gens qui ont le même planning que moi ?!? Trop de monde, tant pis on verra ça demain !

<24> Toujours autant de retardataires ; OK, ce sera comme chaque année ... CHOCOLATS pour tout le monde !!!

Cette année c'est promis, je m'y prends plus tôt ... mais pas d'panique, j'ai encore 12 jours devant moi !!!

DB_6             Calendrier_20l_Avent1  <=== foutu GIF qui marche pas !!!

9 décembre 2007

Un de plus ... ou un de moins, c'est selon !

Ouf ! Ce foutu week end est enfin terminé ! Et maintenant, quel est le programme ? Se préparer à affronter le suivant ...

Mais d'ici là, une longue semaine pointe le bout de son nez qui nous enfoncera un peu plus au coeur de cette foutue période des "fêtes". Et dans mon métier, c'est une véritable épreuve de force où chaque jour il faut trouver une raison valable de servir avec un sourire de circonstance cette foule impatiente qui se rue dans les magasins, vocifère, bouscule et insulte, poussée par les encouragements du Dieu Consommateur qu'elle vénère et déteste tout à la fois. C'est à croire que ces braves gens n'ont pas le choix, qu'ils doivent acheter à tout prix ! Consommer pour exister, donner un sens à sa foutue existence, voilà la préoccupation première du Français en décembre. Et le compte à rebours a commencé ...

Encore 2 longues semaines et autant de week ends nous séparent de cette orgie de bons sentiments, ponctuée par des sourires et des embrassades qui seront la récompense du surplus de stress accumulé durant ce fabuleux mois : ne pas pouvoir se procurer le cadeau idéal. C'est un problème récurrent car bête et discipliné, le Français suit aveuglant ce que lui conseille la Déesse Publicité. Et le voilà prêt à se battre pour une DS, une Wii, la dernière peluche à fonctions à la mode, le cheval de Barbie, et autres conneries sans nom !!! Surviendra alors l'angoisse, celle de ne pas offrir LE cadeau, de se tromper, d'offrir un jouet défectueux, de décevoir. Ils accoureront alors en une masse compacte et agressive afin de vomir toute leur haine sur les malheureux boucs émissaires, dont je fais partie, que les aléas de la vie ont poussé à bosser dans la grande distri.

Courage, plus que 2 semaines et ma vie reprendra son cours, lent et monotone ...

8 décembre 2007

Parce qu'il faut bien commencer quelque part ...

Quand on est seul, rien ne ressemble plus à un samedi soir qu'un autre samedi soir.

La seule question qui vaille est la suivante : que faire de cette soirée, si attendue tout au long de cette foutue semaine, et tellement redoutée aussi ?

Et voilà la trame de fond de ma vie : faire un choix !

Quelle calamité d'être né avec un tel éventail de possibilités ! On dit que le choix est le symbole même de la liberté. Bullshit ! Je suis comme ce foutu âne de Buridan, mort de faim et de soif devant son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de savoir par quoi commencer. Et si je commençais par le commencement ...

Reste maintenant à le trouver, ce foutu point de départ. Jusqu'où dois-je remonter dans mon passé pour trouver le point de rupture, le moment où j'ai définitivement quitté l'insouciance infantile et perdu mes dernières illusions. Le moment où je suis devenu spectateur de ma vie, et plus acteur. Le moment où j'ai laissé les aléas de mon existence prendre le dessus sur mes décisions propres. Je tiens peut-être enfin le début d'une piste. Affaire à suivre ...

Car pour l'heure, je suis aux prises avec ce foutu choix du samedi soir. Dois-je procéder par élimination, par envie, par intérêt, ou tout simplement par défaut comme d'habitude. Rester dans mon cocon à attendre l'improbable, l'inattendu. Voilà bien un paradoxe dont je suis fan : attendre l'inattendu ! Mais le temps passe et le téléphone reste désespérément muet ; alors je vais faire comme d'habitude : mettre un DVD. Mais lequel quand ta DVDthèque est riche de plus 200 oeuvres !?!

Quand on est seul, chaque samedi soir est une copie d'une copie d'une copie ...   fightclub07

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